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Lanael Logan

22 décembre 2013

Mark Hodder - L'étrange affaire de Spring Heeled Jack

Présentation : La reine Victoria a été assassiné en 1841, et près de vingt ans plus tard, de drôle de machines circulent dans Londres. Sir Richard Burton est confronté à la disparition de son collègue John Speke qui s'est tiré une balle dans la tête juste avant leur débat sur la découverte de la source du Nil, lorsqu'il est attaqué par un étrange personnage, que tout le monde s'accorde a appelé "Spring Heeled Jack".  Convoqué par le premier ministre, il se voit confier une enquête sur la disparition de jeunes ramoneurs, enlevés par des "Loups-Garous".

Jack

Mon avis : Un pure moment de bonheur dans un style Steampunk sans fausses notes...entre les réalités historiques, les déviations imposées à celles-ci, les machines de toutes sortes, et l'intrigue elle-même, c'est un pure bonheur. L'histoire diverge pour de bonnes raisons, les enquêtes se croisent, les destinées se font et se défont, sur le thème du libre-arbitre, de l'effet papillon ou de l'effet d'un changement quel qu'il soit induit par un voyageur temporel. Ce livre n'a pas reçu le prix Philip K.Dick 2010 pour rien. je n'en dirais pas plus de peur de trop en dire.

Editeur : Bragelonne

ISBN : 9782352946342

Prix : 28 euros

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19 décembre 2013

Masasumi Kakizaki - Green Blood 1

Présentation : Dans le quartier de Five Points, à la fin du XIX ème siècle règne les gangs. Malgré la corruption, Luke Burns tente de rester honnête et subvient aussi aux besoins de son frère aîné Brad qui semble ne rien faire de ses journées. Ce qu'il ne sait pas, c'est que ce dernier n'est autre que le Grim Reaper, l'assassin attitré d'une des bandes les plus malfamées, les Grave Diggers.

green blood 1

Mon avis : Dans une ambiance sombre, on découvre un univers particulier, qui n'est pas sans rappeler le film "Gang of New York". Les personnages sont attachants, et l'intrigue bien menée.

Editeur : Ki-oon

Prix : 7,65 euros

16 décembre 2013

Corbeyran - Bordier : Elfes - L'Elu des semi-elfes

Présentation : La légende raconte qu'un semi-elfe portant une marque sur l'épaule, conduira son peuple vers des terres ou il pourra enfin vivre en paix. Bâtards honnis de tous les sangs pures, les semis portent alors Naah-Taal, marqué par un animal des son plus jeune age, à la tête d'une expédition qui doit les conduire vers cette terre tant attendue.

Elfes 4

Mon avis :  Encore une très belle histoires pour cette série, les elfes, axe central, laissent ici la place à des êtres pourchassés, réduits à l'esclavage et pourtant preuve d'un amour transcendant les races. Entre des dessins magnifiques et une histoire pleine de tendresse et de passion, les créateurs nous amènent ici à réfléchir sur la xénophobie, la trahison et l'amour. Rien à redire...

Editeur : Soleil

ISBN : 978-2302030893

Prix : 14,50 euros

13 décembre 2013

Sire Cédric

Commencer une nouvelle rubrique sur ce blog avec Sire Cédric, c'est comme de me proposer de déguster une boîte de chocolat. Je vais me régaler, autant que je me suis déjà délectée à ce café littéraire, non pas à cause du chocolat chaud et des mini muffins offerts par le Colombus Café, mais parce que ça a été un véritable moment de plaisir.

Je vais donc ici, retracer ce qu'il a été dit, au mieux de mes notes, au travers des questions pertinentes posées par le représentant de la Médiathèque du Val d'Europe. Je m'excuse vivement auprès de l'auteur si en retranscrivant sa pensée, je l'ai mal interprétée et m'engage à faire toute modification qu'il jugerait nécessaire.

sire cedric 3

Commençons donc : 

Comment pourrait-on qualifier votre œuvre ?

J'ai l'impression d'écrire des romans d'aventures, des histoires fascinantes, basées sur des courants littéraires différents, tel que l'aventure avec Bob Morane, l'horreur, l'amour, la superstition... Quand j'invente, du fantastique surnaturel vient se greffer, dépassant le cadre de la vie quotidienne. J'envisage la littérature comme un divertissement.

Pourquoi pas de Fantasy ?

J'ai commencé par ça quand j'avais une dizaine d'années, lisant de la fantasy, d'où les cheveux blancs de mon personnage, en référence à Mickael Moorcock. Mais dans les trois genres fantastiques, les codes sont différents. La SF est une extrapolation de notre société, la fantasy est plus liée à la mythologie et aux religions avec des créatures, ce qui aborde la place de l'homme dans l'ordre des choses, avec des quêtes héroïques et le fantastique, où les créatures ne sont pas censées exister mais sont là. Avec ce changement de point de vue, cela devient une littérature psychanalytique qui permet d'évoquer nos angoisses, domaine que j'aborde depuis que j'ai 13-14 ans. Les mythes urbains sont du fantastique, mais au-delà de ça, c'est l'histoire qui est importante.

Ou commence le fantastique et où s'arrête la réalité ?

La particularité de l'écriture, de mon point de vue est très importante. Je me greffe sur la réalité à partir du fantastique au lieu de greffer le fantastique sur la réalité.

Quel est le secret de l'addictivité de vos livres ?

C'est le travail. Pour happer le lecteur dès le début jusqu'à la fin, scène après scène, je cherche à garder la fluidité. J'écris tout les jours et si je ne suis pas moi-même embarqué le lendemain après avoir écrit, je recommence jusqu'à ce que ça fonctionne. J'essaye d'éviter les digressions et que le plaisir soit permanent. J'utilise des rythmes différents, des structures différentes à chaque livre. Je me lance des nouveaux challenges à chaque fois. Je cherche à surprendre le lecteur.

Est-ce que la musique vous inspire ?

Il n'y a pas de règle, mais j'écoute beaucoup de musique et j'ecris dans une bulle. Si la musique me distrait, je coupe, mais elle peut aussi induire un rythme hypnotique. Pour "le premier sang", la musique a été très importante. Les compositions musicales abordant le sujet de l'apocalypse ont créé des images.

Dans chacun des romans, la figure de l'enfance est très importante, pourquoi ce leitmotiv ?

Il n'y a pas d'explication spécifique, même si l'enfance est une période importante de la vie.

Lire du fantastique, est-ce garder une part d'enfance ?

Je ne me pose jamais autant de questions, mais pour moi, si la lecture d'une oeuvre devient transgénérationnelle, c'est que le divertissement fonctionne. Ainsi, je décris peu mes personnages, mais chacun les imagine à sa façon. L'histoire est vue depuis l'imaginaire de chaque lecteur, car il n'y a pas de messages. Je trouve que ça tue les mythes de vouloir les expliquer. L'art doit-être plus grand que la vie de tous les jours.

La figure du méchant est particulièrement travaillée dans "la mort en tête", comment est né ce personnage ?

Le méchant n'est pas réaliste, c'est une image du mal absolu, masqué derrière la gentillesse. Il est né comme ça. Je le mets dans des positions les plus réalistes possible, dans des lieux réels.

La violence est critiquée dans vos romans, est-ce uniquement pour le lecteur ou y a-t-il une incidence particulière pour vous ?

Il n'y a pas de messages, mais des thèmes récurrents, en particulier sur l'apparence. L'héroïne est une femme, albinos aux cheveux blancs dans un univers d'hommes. Ça interpelle. La violence permet d'évoquer des choses importantes, mais il n'y a jamais de violences gratuites qui n'apporteraient rien à l'histoire. Chaque chapitre explique quelque chose avec un but. C'est une articulation indispensable.

Pourriez-vous ré-écrire des choses comme "Angemort" (porno-gore) ?

Je n'ai pas envie de retourner dans ce monde pour le moment, mais c'est possible. J'écris un livre par an, et je tiens à être fier de ce que je donne aux lecteurs. (NDLR : Je ne l'ai pas noté sur le coup, mais l'esprit de la phrase était, il me semble, que cela lui laissait peut de temps pour digresser vers ce type d'oeuvres, entre l'écriture et les corrections).

Comment êtes-vous passé de nouvelles à un roman de 500 pages ?

Les nouvelles, c'était au tout début, un format pour être lu rapidement, partager avec les autres facilement. A l'époque, c'était immédiat. Je pouvais imprimer les 10 pages et les faire lire à mes profs, mes amis... Mais le temps passant, mes idées sont plus développées. Les nouvelles restent tout de même mes histoires les plus personnelles. Elles m'ont appris à écrire et sont donc beaucoup moins bonnes que ce que je suis capable de faire maintenant.

Quelle figure stylistique sera dans le prochain roman ?

Il n'est pas écrit, il n'y a que l'idée.

Vos sources d'inspirations ?

Stephen King a changé ma vie. Il a un ton fort, un style fort, inimitable. Il m'a donné envie d'écrire. Il ya aussi Dean Koontz, Clive Barker... Ils m'ont montré qu'écrivain était un vrai métier, quand j'avais environ 15 ans, en lisant des interviews. Ils m'ont montré que certaines choses sont possibles, au contraire du système éducatif pour lequel un écrivain est mort.

Comment faites-vous pour dépasser le dédain du système pour le genre fantastique ?

J'écris ce que j'aimerais lire.Le dédain pour les littératures de niches, je ne sais pas quoi en penser. Où c'est bon, où c'est chiant ! Il y a une espèce de snobisme sur la sf, le fantastique, mais les gens lisent de l'imaginaire pour se divertir. Ça ne me touche donc pas. Les livres qui resteront, seront de la littérature populaire et comme les lecteurs veulent de la qualité, la barre est haute.

Que pensez-vous du numérique ?

Le numérique est l'avenir du livre, mais je reste attaché au papier. Il y a d'ailleurs eu un bug sur l'epub de "La mort en tête" mais c'est rectifié. Quand au prix des epub... c'est souvent du vol.

La seule question du public ayant suivi ce questionnaire :

En retravaillant un passage, te laisses-tu prendre par ce que tu as écris ?

Oui, surtout quand je n'arrive plus à voir mes fautes. D'ailleurs, si ça ne marche pas, je recommence. Ainsi, pour "L'enfant des cimetières", le dernier tiers à été ré-écrit trois fois.

Et pour finir, le jeu du répondez sans réfléchir, dont certaines réponses m'ont beaucoup plu:

Angoisse la plus forte : l'incapacité à communiquer

Pire créature cauchemardesque : l'être humain

Idole incontestée :  David Lynch

Évènement le plus marquant :  J'ai eu des rapports compliqués avec mes parents qui ne comprenaient pas ce que je faisais. Ils ont déménagé en Guadeloupe et ont découvert que leur voisine était fan et avait tous mes livres. Cela a fait évoluer les choses.

Le plus beau rêve : Que ça continue !

Et les mots de la fin : 

Est-ce que les livres pourraient être réalisés au ciné ?

Peut-être mais ça ne dépend pas de moi. C'est très compliqué.

Une actrice pour Eva ?

Je ne répondrais pas, comme je le disais, chacun imagine son personnage comme il le souhaite. À la limite, je préférerais quelqu'un d'inconnu.

dedicace sire cedricVoilà, pour l'idée générale de ce café littéraire. Sire Cédric a ensuite pris le temps de discuter avec chaque personne présente, dédicaçant au passage les livres que chacun avait amené, ses oeuvres, bien entendu, pas le dernier Maxim Chattam ;) ! 

J'ai pu discuter avec lui de mon ressenti sur son roman, ainsi que de sa belle région de Toulouse que j'affectionne, et qui prend une place importante dans le déroulé de l'action de "La mort en tête". 

Au regard de tout cela, je ne peux que conclure que Sire Cédric est un auteur de talent, d'une gentillesse peu commune, et dont je partage beaucoup d'idées sur la littérature en général. Je crois bien qu'il va falloir que je me procure d'autres de ses oeuvres.

Vous pouvez aussi retrouver la chronique de "La mort en tête" en suivant le lien en bleu.

 

 

 

10 décembre 2013

Sire Cédric - La mort en tête

Présentation : Alexandre Vauvert et Eva Svärta profitent de leur week-end quand le téléphone sonne. Un enfant vient de mourir dans des circonstances plus que douteuses et Eva doit partir enquêter. Elle va alors rencontrer sans le savoir le pire prédateur de sa carrière de flic.

mort en tete

Mon avis : Cela faisait très longtemps qu'un livre ne m'avait pas tenue éveillée la moitié de la nuit. Et si la fatigue m'a obligée à le lâcher, je n'ai pu que le reprendre dès le réveil, c'est dire. Vous l'aurez donc compris, je serais dithyrambique ! Ce thriller est génial, avec ce qu'il faut de tension, de suspense, de peur, même si l'on découvre le coupable dès le début, car on ne sait jamais ce qui va se passer et l'histoire nous tient en haleine jusqu'à la fin.

Et pourtant, ça commençait mal, car la mort d'un enfant me fait fuir. Je suis une mère et j'ai donc beaucoup de mal à supporter ce genre de chose. Mais là, une fois ce cruel démarrage passé, je n'ai plus eu qu'à me laisser porter par le récit, l'action et les dialogues. Les personnages sont extrêmement bien construits, tout en force et en faiblesse, donnant du relief à l'intrigue. Quant au côté un peu ésotérique et surnaturel, il n'est pas pour me déplaire.

L'auteur nous ballade entre Paris et Toulouse, deux villes chères à mon coeur, et leurs alentours, comme si nous y étions. Bref, si vous avez envie d'un excellent moment de lecture, ne vous privez surtout pas de découvrir cet auteur, français qui plus est, ça change !

Editeur : Le Pré aux Clercs

ISBN : 978-2842285128

Prix : 19,90 euros

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7 décembre 2013

Cassandra Clare - La cité des anges déchus

Présentation : Clarie commence son entraînement de chasseuse d'ombre, alors que Jocelyne et Luke préparent leur mariage. 

cité anges déchus 4

Mon avis : Je me demandais à la fin du volume précédent ce que celui-ci pourrait bien apporter à l'histoire, car il était tout à fait possible d'arrêter la série. Le début m'a donc intriguée, mais je n'y trouvais pas grand-chose d'intéressant, jusqu'à ce qu'un nouveau personnage entre en jeu, alors que Simon subissait des attaques répétées et que Jace fuyait Clarie.

Et oui, c'est reparti pour un tour. De nouveau des combats, des enlèvements rendent ce livre de nouveau attrayant, même si je commence à me lasser du jeu de chat et de la souris dans la relation entre Jace et Clarie. Quant à la fin... Je ne crois pas pouvoir résister longtemps avant d'acheter la suite... Mais chut, je ne dévoilerais rien.

Editeur : Pocket Jeunesse

ISBN : 978-2266244428

Prix : 18,15 euros

4 décembre 2013

Cassandra Clare - La cité de verre

Présentation : Clarie doit accompagner la famille Lightwood et Jace à Idris pour rendre compte des derniers évènements. Mais lorsqu'elle arrive, une bataille semble avoir eu lieu et ils sont déjà tous partis, la laissant derrière eux.

cité verre 3

Mon avis : Cette série est décidément assez addictive, car il est quasiment impossible de s'ennuyer. Ça bouge, ça rebondit, les combats sont violents, mais sans trop, pour rester dans une gamme destinée à la jeunesse. On devine très facilement ce qui va se passer, mais ce n'est pas très grave car l'ambiance nous permet de nous laisser porter par l'histoire. Quant au final, il est assez grandiose dans celui-ci.

Editeur : Pocket Jeunesse

ISBN : 978-2266244312

Prix : 18,15 euros

1 décembre 2013

Thor : Le monde des ténèbres de Alan Taylor

Présentation : Alors que Loki vient d'être enfermé dans les prisons d'Asgard, Jane Foster fait une découverte qui incite Thor à la ramener à Asgard. C'est alors qu'une race très ancienne attaque la cité.

Mon avis : Beaucoup mieux construit que le scénario de l'opus précédent, l'histoire met en avant les liens qui unissent les différents univers et en particulier ceux d'Asgard avec la Terre. La relation que Thor va devoir renouer avec son frère renégat Loki est aussi un des éléments clefs qui donne de la tension au film. Quand aux vilains elfes noirs qui cherchent à dominer les neuf royaumes, s'ils sont un très bon faire-valoir à Thor, ils ne sont pas aussi tenaces qu'on aurait pu le vouloir.

Bref, on y passe un bon moment de détente, entre humour, grosse bagarre, trahison, mais ça ne reste qu'un blockbuster à l'américaine. La preuve en est que si les deux personnages arrivent à s'embrasser une fois, c'est bien la seule... et comme le film le souligne parfaitement, ils ne se rencontrent qu'une fois tous les deux ans... dans la plus pure lignée puritaine américaine !

Mais pour finir, ok, je vais le dire, puisque vous l'attendez tous, oui, Chris Hemsworth est plutôt canon... ce qui ne gâche rien ;)

 

28 novembre 2013

Amanda Hocking - De mon sang T3 : Troublée

Présentation : Alice, devenue Vampire, devrait couler des jours heureux sous le même toit que Jack. Mais d'une, elle doit apprendre à se contrôler pour ne pas le tuer, et de deux, Peter a disparu après la rupture du lien qui les unissait et des bruits courent qu'il serait en danger. Elle décide donc d'accompagner Ezra pour le ramener à la maison, laissant Jack derrière elle.

 

de mon sang 3

Mon avis : J'avais trouvé les deux premiers romans de la série un peu mièvres, car manquant de combats, mais parfaits pour de la littérature jeunesse. Ici, l'auteur commence doucement à changer de registre. C'est vrai qu'on n'assiste pas aux scènes intéressantes dans la recherche de Peter au début, car on reste au côté d'Alice, surprotégée, nous n'avons alors que d'autres choix que de les imaginer. Ceci dit, plus on avance dans la lecture, plus Alice prend de l'assurance, devient un vampire en possession de ses moyens et une femme. On assiste alors enfin à une véritable bataille, ou presque, même si on a du mal à percevoir l'action, encore trop brouillonne, l'auteur ayant encore peu l'habitude de telles scènes. J'ai à présent un peu plus hâte de lire la suite.

Editeur : Castelmore Editions

ISBN : 978-2362310720

Prix : 15,20 euros

25 novembre 2013

C.J.Daugherty - Night School T3 : Rupture

Présentation : Allie accuse le coup après le décès de son amie Jo et le terrible accident qu'elle a subit en tentant de s'échapper des griffes de Gabe qui tentait de l'enlever. De tout cela ne ressort qu'une seule chose, un traître aide Nathaniel de l'intérieur de l'école et Cimméria s’apprête à subir un nouvel assaut.

nightschool 3

Mon Avis : J'avais beaucoup aimé les deux premiers, mais ici, on sent une baisse de régime dans l'action et c'est un peu dommage, car c'est ce qui faisait tout l'attrait de cette série. Ceci dit la fin nous donne à nouveau envie de connaître la suite, ne serait ce que pour enfin savoir qui est ce traître grâce auquel Natahaniel circule ouvertement sur le domaine. La romance dans celui ci est un peu trop présente à mon goût puisque ça bouge moins, il fallait bien combler et c'est dommage. Mais cela reste un bon ouvrage pour la jeunesse, car très puritain mais avec une pointe d'angoisse et de passion.

Editeur : Robert Laffont

ISBN : 978-2221137291

Prix : 17,90 euros

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