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Lanael Logan
29 mars 2014

Captain America, le soldat de l'hiver de Anthony Russo, Joe Russo

Présentation : Steve Rogers, alias Captain America, tente de s'adapter à sa nouvelle vie jusqu'à ce que Nick Fury soit sauvagement attaqué en pleine ville. Ce dernier trouve alors refuge chez Steve et lui laisse la consigne de ne se fier à personne. 

Mon avis : Il faut aimer les combats violents, avoir un peu d'humour et surtout ne pas vouloir se prendre la tête pour se type de film, à moins d'avoir envie de décortiquer l'arrière trame et l'annalyser. Mais je ne pense pas que ce soit le but premier de ce film de divertissement. J'insiste sur ce terme. Alors oui, on peut y voir une critique de toutes les grosses sociétés ou les gouvernements qui souhaitent le monopole, contrôler, générer du profit, mais je le répète ce n'est pas l'objectif.

Bref, on assiste à des combats magnifiques, de superbes explosions, des traits d'humour à froid, quelques phrases qui pourraient restées cultes, sans compter que la plastique des acteurs ne gâche rien. Il y a aussi quelques petites imperfections qui font vraiment rire, la plus flagrante étant pour la gestion du brushing impeccable de  Scarlett Johansson. 

Pour conclure, c'est de la grosse machinerie cinématographique américaine dont la morale fait que le héros gagne toujours à la fin. On aime ou on n'aime pas. Moi, j'adore. Il n'y a rien de mieux pour oublier ses problèmes.

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26 mars 2014

Vampire Academy

Présentation : Rose et Lissa se sont enfuie de leur école "Saint-Vladimir", surnommé la Vampire Academy, car la princesse Lissa Dragomir y était semble t-il en danger. 

Mon avis : Le livre m'avait beaucoup plus, raison pour laquelle j'ai accepté de voir ce film malgré ses mauvaises critiques. Dans l'ensemble, j'ai passé un bon moment à rire, tellement il est kitch, convenu et ridicule. Pourtant, le roman m'avait pris aux tripes, passé les cent premières pages de mise en place assez lourdes. Mais je n'est pas retrouvé du tout cette ambiance angoissée, l'héroisme des personnages où les valeurs fondatrices du livre. Bref, si vous voulez découvrir ce qu'il ne faut pas faire dans un film, c'est le bon.

22 mars 2014

Bilan Salon du livre 2014

Je ne vous parlerais pas de la foule, surtout les gamins des écoles et collèges qui hurlaient aux stands "Manga", vous bousculaient sans s'excuser, s'arrétaient pile devant vous en vous grillant la place dans la file d'attente, vous regardaient narquois version " vas-y, dit quelques choses, on est trente...", bref...je l'ai fait quand même! bah quoi, il faut bien se défouler ... et puis, c'est les parents qui méritent des baffes pour les avoirs mal élevés!

Enfin, c'était juste pour dire que ce salon fut presque parfais, et je me souviendrais de la migraine qu'il m'a valut.

Sinon, je vais vous montrer les trésors ramenés, et vous parler des rencontres que j'y ai faites, ou pas.

Après avoir vadrouillée dans les allées, essayant de me repérer, je suis arrivée trop tard pour avoir un ticket pour la dédicace de Kaori Yuki pour "Devil's Lost Soul", et quand je pense qu'il y en a un qui a gagné deux séances au tirage au sort, je suis un peu énervée, mais c'est comme ça.

J'ai quand même eu la chance de rencontrer des personnes formidables, tel que l'équipe des "Editions du Chat Noir", l'équipe de "Rebelle Edition", Fabien Muller ou Céline Guillaume. J'ai même croisé Alexandre Antigny, du blog " la fievre litteraire de delex " devant un des stand précité, je vous laisse deviner lequel, mais c'est celui dont j'ai ramené le plus de livres papiers.

DSC00641

 

J'ai d'ailleurs totalement oubliée de vous mettre la photo de la magnifique clé usb des Editions Rebelle, sur laquelle j'ai fait charger les deux tomes d'Erenn d'Emily Musso, la face cachée des Dômes de Anne Feugnet et les deux tomes de Kolderick de Christy Saubesty. Je n'ai malheureusement pas tenu jusqu'à 17h pour rencontrer Sophie Jomain pour les Etoiles de Noss Head, que je prendrais donc une autres fois.

Et j'ai été gâté... je crois qu'il en reste encore un ou deux au fond de mon sac qui ne sont pas sur la photo...

DSC00642

 

Voilà, pour une journée, elle fut efficace, même si je ne revient qu'avec les dédicaces de Céline Guillaume et de Fabien Muller, ce sont celles qui me sont vraiment destinées qui comptent le plus pour moi. Au diable Kaori Yuri et tous les auteurs de BD, Manga ou Best-seller, je préfère les personnes sincères...merci à eux pour les discussions agréables que nous avons eu.

photo celine

Pour conclure ce petit intermède, je crois que je vais aller lire, ma Pal venant de subir une croissance exponentielle de livres.

19 mars 2014

Rencontre avec Mallock

 Je me suis rendue à la rencontre organisée par le site Babelio avec l'auteur Mallock. Acceuilli par un sourire nous invitant à déguster des petits fours et boissons sans alccols en attendant que tout le monde soit là, je tiens à préciser que j'ai passé un très agréable moment.

Pseudo de Jean-Denis Bruet-Ferreol, pour "Les larmes de Pancrace" chez Fleuve Noir, il faut savoir que l'homme est un peu touche à tout, tour à tour écrivain, photographe, peintre...

Ce fut une rencontre fort intéressante et enrichissante sur sa façon de travailler, son parcours ainsi que ses projets, même s'il ne nous a laissé qu'entrevoir ces derniers.

Voici donc les questions et leurs réponses, mais si j'ai déformé par mégarde les propos de l'auteur, je reste à sa dispositions pour rectifier ces derniers.

Qui de l'auteur ou du personnage est arrivé en premier?

Le perso est né en 95, et moi en 51, répond-il avec humour. Il me doit le respect. Mais plus sérieusement, j'ai crée un personnage viril pour une histoire, Mallock, a qui j'ai donné le prénom ridicule d'Amédée pour le casser un peu. je ne pensais pas le développer. C'était le contraire de moi même, mais les lecteurs ont mis le doigt sur la ressemblance. J'ai alors décidé d'écrire "Le visage de Dieu", manuscrit envoyé seulement après 20 ans à écrire sans jamais rien posté à un éditeur. Il y a eu trois réponses positives dont le "Seuil". J'ai signé avec eux par orgueil, le "Seuil" quoi, mais ce fut une erreur. fleuve Noir est un miracle.

Est-ce que Mallock à évolué entre le premier volume et aujourd'hui?

J'apprécie le formatage des personnages, car ça me permet de délirer ( *là je ne suis pas sure d'avoir tout compris). Mais Mallock a évolué. Il a perdu son fils dans le 1er, dans ce quatrième volume, il commence à revivre. Il y a formatage du nombre de signe de la construction pour pouvoir délirer sur le reste.

Quel était le point de départ de l'intrigue qui devait s'appeller Coeur-corneille?

La noblesse d'un livre est de raconter une histoire inconnue, soit on a une thématique forte : dans "Les hirondelles" c'était " je l'ai tué parce qu'il m'a tué"... (* et après j'attends toujours le deuxième soit, mais c'est les aléas de l'oral, lorsque la pensée nous entraîne plus vite qu'on n'a le temps de l'exprimer...)

Là c'est une saga policière dans le temps. J'ai inventé le château pour ce voyage temporelle où Mallock intervient sans voyager. 

Je finalise un roman, fait la recherche pour le suivant tout en écrivant celui en court. La recherche est très importante, se tenir informé aussi pour avoir une crédibilité. Pour les lieux, je vais beaucoup sur Google earth, alors qu'avant je prenais mon appareil photo.

Le vignoble n'existe pas. mais j'ai tout écris, cela faisait 700 pages environ, puis j'ai fait des coupes sévères, mais au départ j'avais besoin de tout adossé.

Allez-vous aussi à fond sur les caractères des personnages?

Au départ, je trouvais difficile les dialogues, mais avec le métier, c'est plus facile. Là, je suis satisfait de mes personnages. Parfois je fais une fiche, parfois non. je suggère, sans décrire, pour que le lecteur imagine. Après, il faut que ça fonctionne.

Déterminez-vous le coupable dès le départ?

Oui, le plan est monstrueux dès le départ, chapitre par chapitre avec ce qu'il y a dedans. C'est 30 à 50 pages et la structure est sur une feuille A3 épinglée au mur.

Il y a deux styles différents dans le livre, classique ou délirant?

J'aime beaucoup les styles différents et je ne me sens pas bien dans un seul genre. J'ai mis du temps à lier les deux, à créer l'émotion par la forme contre-balancée par des dialogues où les mots familiers mettent en valeur le texte. J'avais même commencé la partie historique en vieux français.

Pourquoi le moyen âge?

Rien de spécial, sauf que pour le voyage dans le temps, la peste et le brasier ont été le déclencheur pour rendre spécifique la terre du vignoble.

Est-il normal qu'un policier utilise de l'opium? Pourquoi cette composante?

(Spoiler d'un autre volume que les larmes de pancrace) Ça fait parti des trucs qu'on fait sur le moment. J'ai crée Thomas, le fils de Mallock, pour exorciser ma peur de perdre mon fils. Je vous rassure, les deux sont en bonne santé. La perte de ce fils plonge Mallock dans le drame. Ll'opium le désinhibe et justifie son intelligence par rapport aux autres. ( *Il a du vouloir dire intuition, quand on sait que les drogues bloquent les neurones et détruisent donc l'intelligence...) Il doit souffrir et avoir des failles, l'opium conduit à ses intuitions et le rend plus sympathique.

Pourquoi ce pseudo? L'identification va-elle jusqu'au bout?

Je suis un homme de marketing, 20 ans dans la publicité et j'ai procédé au principe de parcimonie en supprimant le titre "les chroniques barbares", mon nom et le pseudo en prenant le nom du personnage. Le coté positif, c'est la mémorisation. J'assume. Ses valeurs sont les miennes, et après coup, heureusement qu'il était sympathique.

Imaginez-vous le film que ça pourrait être?

En écrivant, je me demande ù je vais placer la caméra. C'est effectivement très cinématographique, mais pour l'adapter je devrais m'eclipser car c'est un autre langage, et le confier à quelqu'un en qui j'aurais confiance. J'aurais aimé être réalisateur mais je serais devenu fou car il y a trop de monde à consulter.

Vous disiez que vous ne vendiez pas beaucoup alors qu'un de vos livres sort aux Etats-Unis, en Angleterre, ...?

J'ai de la chance, mais tant que les médias ne s'en mêlent pas, ce n'est pas de grosses ventes.

Il y a beaucoup d'images, c'est très riche, mais par rapport à toutes ces connaissances, il y a beaucoup de clichés. Quel est votre ambition d'écriture vis à vis du public?

Vous êtes un lecteur, et non le public. je raconte des histoires extraordinaires. Si les gens veulent des histoires formalisées, qu'ils ne me lisent pas. La confusion de ce que je raconte ne peux pas plaire à tous, mais qu'ils reconnaissent au moins que c'est bien écrit. Me faire démolir alors que je n'ai pas triché est dur car il y a un niveau de qualité même si ce n'est pas votre style.

Pour la traduction, comment vous assurez-vous que le traducteur respecte votre style?

Il faut faire confiance. Je regarde les gens. J'ai été conseil pendant 25 ans et je travaille avec Pierre Astier dont les gens gardent un souvenir émus. Çaaide. Un grand éditeur Italien a accepté le livre et un auteur italien a accepté de faire la traduction. Si on a quelqu'un de sympathique et de professionnel en face de soi, on y va.

Avez-vous une musique de fond lorsque vous écrivez?

Au début, il y a 25 ans, je n'écrivais qu'en musique. petit à petit, je me suis détaché. J'aime écrire au terrasse des cafés. Ça me force a créer une bulle ou je suis encore plus concentré. les seuls a percer les bulles sont les groupes de jeunes filles qui rigolent.

Dans le prologue, on a l'impression d'une description de bd, avez vous pensé à en faire?

J'en ai déjà fait un peu. On m'avait demandé de designer un personnage. Mais c'est vrai que tout est très graphique. Tout les meurtres du "Visage de Dieu" je les ais dessinés. Mais rien n'est systématique.

Puis sur ces dernière paroles, l'auteur a dédicacé les exemplaires de son livres.

mallock

 

Pour en savoir plus, ou pas, vous pouvez retrouver l'article de babelio sur cette rencontre :

http://babelio.wordpress.com/2014/03/06/quand-les-lecteurs-de-babelio-rencontrent-mallock/

16 mars 2014

Kaori Yuki - Devil's Lost Soul

Présentation : Sorath, rescapé du grand tremblement de terre, est recueilli par Garan, héritier du domaine des "fleurs de sang". Les deux garçons sont très proche de Kyora, auquel Garan est fiancé.

devil 1

Mon avis : Si une amitié forte liait les trois jeunes, les différentes relations évoluent avec leur apprentissage de la vie et les manoeuvres du baron. Très bien construit de ce point de vue, la documentation sur le début du XXeme siècle et ce grand tremblement de terre me semble toutefois paradoxale. Les jeunes filles portaient-elles déjà des uniformes aussi courts? Je ne sais pas. 

Ceci dit, l'histoire est envoûtante, matinée de thriller. Elle se termine sur une scène ésotérique parfaite et sanglante, ouvrant sur un inconnu qui me donne envie de découvrir la suite.

Editeur : Pika

ISBN : 978-2-8116-1362-4

Prix : 6,95 euros

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13 mars 2014

Catherina Ingelman-Sundberg - Comment braquer une banque sans perdre son dentier

Présentation : Cinq septuagénaires, coincés dans une maison de retraite qui ressert les budgets, cherchent par tout les moyens à augmenter leur niveau de vie, quitte à finir en prison, car les détenus ont plus de libertés qu'eux mêmes.

braquer banque

Mon avis : Le titre m'a de suite attiré. Plein d'humour, je me disais que tout le livre devait être de ce style. Je me suis trompée, ou plus exactement, je n'ai pas compris le sens de l'humour suédois. Je ne vois pas d'autres explications.

Bref, après un démarrage très difficile, il m'a fallu deux semaines pour lire les deux cent premières pages, j'ai enfin trouvé un peu de plaisir à lire, avec quelques aventures un peu plus mouvementées. C'est pourtant très bien écrit, mais ce n'est surtout pas mon style. Il y manque un peu de magie, de fantastique ou de castagne. Qu'attendais-je donc en lisant les tribulations de ces personnes âgées, suédoises de surcroît ?

Cela dit, le travail de recherche et l'imagination de l'auteur quand à la façon dont ces nouveaux truands vont réaliser leur différents méfaits est assez impressionnant. Mais on ne m'y reprendra plus, même si je suis certaine que ce livre plaira à beaucoup, ce n'était pas pour moi.

Editeur : Fleuve

ISBN : 978-2-265-09763-6

Prix : 19,90 euros

11 mars 2014

Guy Caillens - Le templier de Cordes

Présentation : Guillaume de Montfort, se sentant proche de la fin alors que la peste approche des portes de la ville, se décide de narrer à son fils, l'histoire de sa vie au sein de l'ordre du Temple.

 

templier de cordes

Mon avis : Très bien écrit, dans un français que je n'ai pas croisé depuis fort longtemps, cet ouvrage m'a ouvert les portes de l'histoire. Outre le vocabulaire employé, parfaitement expliqué en annexe, tout y est, de la façon de vivre, de s'habiller, de manger, et pourtant les descriptions sont si légères que la place est largement faite à l'imagination. Le récit en lui même est prenant, même si l'auteur nous fait faire la navette entre la jeunesse du héros et l'époque où il nous conte ses aventures. Bien construit, intéressant, une nouvelle théorie sur le trésor du Temple se dévoile, et ce n'est ma foi pas la plus étrange. bref, même si l'aventure n'est pas épique, la vie de ce jeune nobliaux est plutôt rocambolesque et mérite un petit détour.

Editeur : TDO Editions

ISBN : 978-2-36652-031-6

Prix : 20 euros

8 mars 2014

Surzhenko et Yann: Le monde de Thorgal: La jeunesse: L'oeil d'Odin

Présentation : Thorgal est parti en quête afin de sauver les trois soeurs. seulement la déesse Frigg ne l'entend pas ainsi.

thorgal jeunesse 2

Mon avis : Une histoire cohérente suit le premier volume de cette nouvelle série sur Thorgal. L'aventure est au rendez-vous, avec les dieux, les êtres surnaturels, propice à s'évader de notre monde décadent. Franchement, rien que pour cet instant où l'imaginaire prend la place de la réalité, cela vaut le coup, et c'est sans compter la qualité des dessins et de la narration. J'ai passé un très bon moment.

Editeur : Le Lombard

Prix : 12 euros

5 mars 2014

Naoki Serizawa - La main droite de Lucifer T4

Présentation :  La mère de Nagisa, atteinte d'une tumeur au cerveau, se met à fuir sa fille, ne sachant plus comment gérer sa situation. C'est le docteur Nanami qui réussira à la convaincre de revenir vers l'enfant, qui malheureuse, c'est enfuie. Yû se retrouve donc contraint de la rechercher, découvrant que le père, fuit depuis des années par Madame Mukai à cause de ses dérives, est arrivé en ville et se trouve avec la fillette, encore fragile de sa récente  rougeole.

main lucifer 4

Mon avis : De plus en plus complexe, cette série gagne en intensité. Les croisements intempestifs avec la mafia ne sont là que pour souligner les actes héroïques d'un médecin dont l'estime de soi a disparu. Pourtant, il montre beaucoup de force, d'abnégation, s'entourant de personnes comme lui, dont le besoin est de se retrouver. C'est une très belle histoire d'amour envers le genre humain, marquant les qualités et les défauts de l'humanité.

Editeur : Ki-oon

prix : 7,65 euros

 

2 mars 2014

Giacometti - Ravenne : Le septième templier

Présentation : Le commissaire Antoine Marcas, franc-maçon, reçoit l'appel d'un mystérieux frère qui se fait assassiné tout de suite après. A Rome, le pape est la cible d'un attentat. En 1307, les templiers sont arrêtés.

le septieme templier

Mon avis : Un personnage marquant, une histoire qui se tient, pour ce thriller dont l'intrigue tourne autour du trésor perdu des templier, ne m'a pas empêcher de regretter les digressions du récit. Pour ma part, je trouve que l'histoire des templiers  en 1307 n'apporte rien, surtout qu'on ne sait pas au final où ils ont caché leur fortune de bijoux et elle fait surtout perdre le fil de ce qui se passe pour le héros. De même, (attention spoiler!) je me suis longtemps demandé ce que venait faire cette tentative d'assassinat du pape, et je ne trouve pas que ça apporte grand chose au récit. Par contre, le fil principal "Antoine Marcas"  est très bon et les trois histoires sont très bien écrites. Je garde donc un avis mitigé sur ce roman, même si au final, j'ai passé un bon moment.

Editeur : Fleuve Noir

ISBN : 978-2265088528

Prix : 19,90 euros

Existe en poche

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